Abstract Hip Hop , Afrobeat , Alternative Fusion , Alternative Rock , Ambient , Blues , Concert , Dancehall , DemonAngel , Disco , DJ , Downtempo , Drum and Bass , Dub , Electro , Electro Dub , Folk , Funk , Gospel , Groove , Hard Rock , Hip Hop , IDM , Jazz , live , Mix , New Jazz , Other , Piano , Podcast , Pop , Pop Folk , Pop Rock , Punk , Ragga , Rap , Rap Fusion , Reggae (45) Rock , Ska , Soul , Spoken Word , Trip Hop , World Music
Bon bin en fait, Le Tone, c’est encore un de ces mecs qui bidouillent de la musique à grands coups de samples, de scratchs et d’autres trucs dans le genre. Des trucs que tu n’as même pas besoin d’avoir fait le conservatoire pour jouer de la musique qui swingue…Non, pas besoin…
Jusqu’à maintenant, Le Tone, il n’avait sortit que des singles…Là, c’est son premier album…Tout premier…
En fait j’ai connu le boulot de Le Tone, par le biais de ses pochettes de disques qui sont toujours « hyper-belles »…Ouais, c’est d’abord comme ça que j’ai connu Le Tone. Pis après, j’ai commencé à entendre des morceaux sur COULEUR 3, «joli dragon» pour être précis et pis aussi «la biche égarée»…Tout de suite, j’ai bien aimé, parce qu’ils étaient «rigolos» ces morceaux…
Donc, lorsque j’ai appris que Le Tone sortait un album, et bin, je l’ai tout de suite acheté…C’est ma foi une bonne initiative…En plus, après l’avoir acheté, j’ai eu la bonne idée de le placer dans mon MANGE-DISQUES, et pis après avoir fait ça j’ai appuyé sur le bouton PLAY, et pis j’ai écouté…Alors ça aussi, c’est une bonne initiative…
Tout de suite, j’ai adoré…Parce que bon, Le Tone ça ne ressemble pas du tout à ce qui se fait en «musique électronique Française » habituelle…ça ne ressemble pas du tout à Daft Punck, Bob Sinclar, Stardust ou encore Cassius…Non, non, pas du tout comme eux…C’est tant mieux d’ailleurs, si c’est différent…
D’ailleurs Le Tone, ça ne ressemble à rien du tout de ce que j’ai pu entendre jusqu’à maintenant…Si, si, c’est pas des conneries…C’est sûr que dans cet album il y a des morceaux qui sont bien dans «l’air du temps» style « Drum ‘nd Bass », « House », « Trip’hop », mais toujours avec cette petite touche «Le Tone»…Enfin, je trouve…ça dépend, je me plante….Vous me direz ce que vous en pensez…
Autrement la musique de LeTone, c’est de la musique avec plein de jolis p’tits bruits. Comme par exemple «Touhou, touhou» ou encore «Blup» voir même «Wouzwouz»… Mais il y a aussi de très belles mélodies…Des trucs hyper-reposants…Dès que tu écoutes tu es tout calme, même si tu n’as pas mangé des tartines tartinées au crack ou encore mangé des yaourts parfumés au L.S.D…Non, même pas besoin de tout ça…Mais bon, ça doit aider aussi….Par contre, il faut resté couché sinon le tête tourne…
Et pis ce qui est bien, c’est qu’encore une fois, Le Tone a acheté une jolie illustration pour mettre sur la pochette et pis dedans le livret…Alors déjà ça, c’est un bon point…Mais, ça dépend aussi, vous n’allez même pas la trouver belle cette pochette…
Skarnales get fired up with Dale Shine! | Houston Music | 29-95.com MusicSkarnales get fired up with Dale Shine!
Andrew Dansby at 11:23 am on September 9, 2010
Putting Felipe Galvan on a stage achieves an effect similar to dropping sodium into water. He’s an explosive performer, and Los Skarnales might be the best live band I’ve ever seen. Trying to harness that dizzying euphoria on CD is no easy task, but the group remains a spirited recording ensemble, transferring the energy — minus the sweat — onto an album. Dále Shine! — Los Skarnales’ first album in six years — is a representation of all that makes this band great.
Not surprisingly for an eight-piece Latin/ska/rock band Skarnales cover a lot of ground on Dále Shine! And the band wastes no time getting going. All Dressed Up is a jumbo-jet engine of an opener. Galvan spits lyrics a mile a minute while Jose Rodriguez’s scorching surf-guitar lick gives it drive.
There’s a celebratory feeling to Skarnales’ one-world inclusiveness. It’s music you feel, for sure, but it still lends itself to record-crate conversation. It’s no coincidence that an interior photo on the album includes album covers by the Specials, Delroy Wilson, the Clash, James Brown, Ritchie Valens, Johnny Cash, Los Xochimilcas and Joe Turner.
These seemingly disparate elements are always in the mix, but with each song Skarnales alter the proportions. ¿Donde Estás? opens with a loping rockabilly strut with Clashy all-for-one vocals before it turns into a skaplosion; slow, fast, slow, fast — it’ll be a corker in concert. On the flip side, Mala Vida is about the slowest thing on the record, a tip to Wilson with rocksteady ready backing vocals and a leisurely pace.
I won’t profess to understand the entirety of the lyrics, but if lies are really bothering the guys, you wouldn’t know it from the sound of Mentiras, which very much is sockhop ready. And there’s not much that needs to be said about a song called Ska Train, other than it’s delivered as it’s billed, with merry-go-round blasts of sax, trumpet and trombone.
True to some of those aforementioned influences, the proceedings are frequently dappled with a playful comic sensibility, like way the group vocals on Una Otra Vez swerve into drunken singalong.
Hopefully six more years won’t pass before the next one. It was a long wait. But it was worth it.
1. Varnum, Raga Intha. A varnum is an opening piece in praise of the half human half elephant god Ganesh, asking him to remove all obstacles. perfromed by Mandolin virtuoso, U. Srinivas,
2. Thyagaraja Kriti Kalavati. A piece composed by the 17th century Saint Thyagaraja. Preformed by the brother / sister duo of Krshnan and Vijaylaksmi Lagudi.
3. Jaya Jaya, Pradmabha Nabha. Performed by one of the great vocalists, Sanjay Subramanium.
Side 2
1. Vapati, Hamsa Shvani (Song of the Swan). Perfromed by the elder statesman of flute, Dr. Ramani.
2. Saraswati Namosthuthe, composed by G.N. Balasubramanium. A song in praise of the Goddess Saraswati (goddess of learning and music). Nadadesswaram is a large oboe like instrument used in wedding celebrations.
Le deuxième album de Doctor Noodle (le premier que j’écoute) prouve qu’elle a tout compris au trip-hop. Les instrumentations percutantes installent l’ambiance sombre rendu encore plus énigmatique par la voix suave et hypnotique de la maitresse de cérémonie.
Les codes du genre sont donc respectés mais c’est pas pour autant qu’on s’ennuie ou que l’album n’a pas de caractère…au contraire j’ai vraiment été séduit par la production et par la performance de Doctor Noodle qui apporte toute sa personnalité à ce Psychomachia.
Je regrette simplement un manque de variation, le trip-hop étant assez ouvert pour offrir des bouffées d’oxygènes…un ou deux titres supplémentaires avec des mcs dans la même veine que le titre Mars avec le featuring de Monsieur Saï, voire des pistes plus radicales auraient été le bienvenue.
Et c’est assez rare pour le souligner mais cet album est entièrement réalisé par Doctor Noodle, une femme donc. De mémoire, je ne me souviens pas d’un autre album trip-hop 100% féminin.
Songs From The Source of The Nile is quite simply one of the most sublime musical experiences I’ve ever had the pleasure of having. This is one of those albums where every single track is well worth the price of the entire album. Every song takes the listener to a completely different realm–one of deep beauty and exquisite poetry. Ms. Magoola’s talent is quite simply stunning. Her vocals and harmonies are resoundingly delicious, her musical compositions and arrangements are pure perfection, and the infectious warmth of her rhythms and melodies will feed your soul for a long long time… until you are inspired once more to pop the CD back into your player. Thank you Rachel Magoola!!
Amazing collection that gathers some of the rarest Persian 45s, totally unknown outside of Iran until now. Here you’ll find an eclectic mix of styles, from garage nuggets to cool Persian beat, exotic rock&roll and prog/psych. Featuring female drummer & singer Zangoleah with some killer garage / rockin’ tracks, obscure bands like Takkhalha doing a fab cover of the Stones « Play with fire » and an amazing take on the Persian traditional song « Mastom, Mastom », Golden Ring styled beat by Big Boys, exotic Persian beat by Saeed and Tigers, terrific garage-beat by Ojubeha and the two sides of the Kambiz 45, probably the major discovery from Iran in the recent years and one of the few, if not the only truly Persian prog/psych 45s ever recorded.
« Pimp my Jazz! Science Fiction Theater a été dans les années 50, une série télévisée américaine, – la pseudo-science-recherche – principalement des vols spatiaux, la télépathie, robots et autres avait au contenu. Avec la même qualité acoustique attention à la naissance de l’auditeur se retrouve, après quelques mesures dans les années 60, un voyage à Alli Star Mclain, Perry Rhodan et le capitaine Kirk: 0rion seul dans le premier match, « Sweet Paranoia » se précipiter dans parsecs musicale, Enterprise, et tout ce que l’éternel immensité de l’univers peuplé après la 0HR. Entre bon marché et rapide, le quintette a présenté à la tombe Zurich Saxophone Professeur Christoph un monde où les décors sont plus des scènes, des animaux à fourrure de créatures Alpha Centauri fourrure encore d’Alpha du Centaure, et le plastique ou comme le plastique Klingl Easy Listening et Frickeljazz, Lounge Sounds, Surf & Trash, SF kitsch sonores musicales et cinématographiques, parsemé de passages de 0riginal, Chewbacca se bouscule d’attaquer les tomates tueuses – ça se passe dans un jazz-musique Tous « .
Kip Hanrahan is one of the most enigmatic figures in American music. He presides over recording sessions like a sage elder (or perhaps a dictator). Though he often takes no part in the actual musical performances, his mere presence as Producer and Composer seems to direct his loyal musicians in interpreting his music, which has been described as “soundtracks to films that don’t exist”. His earlier releases on American Clave, likeDesire Develops An EdgeandVertical’s Currency, paired the surreal vocals of ex-Cream bassist Jack Bruce with noir jazz charts of rich exoticism. More recently he’s taken a more accessible interest in Afro-Cuban music and channeled it through the excellent group Deep Rumba (Rumba Profunda). His taste for dark moods still predominates, even on the more upbeat selections. This disc, the second Deep Rumba recording, effectively transportsBuena Vista Social Clubto the seediest of Havana bars, with junkies shooting up in the back booths and slutty waitresses with overflowing cleavage proffering powerful rum concoctions. For all its lightlessness, however, Deep Rumba is far more appealing to the mainstream audience than the Hanrahan/Bruce collaborations. The titular leader didn’t even compose any of these works; he simply bills himself as Musical Director and offers up a background vocal on track #6.
Hanrahan gathered some outstanding company for this session. Tenor man Charles Neville (of those famous New Orleans brothers) rubs elbows with fusion drummer Robby Ameen,Buena Vistatimbalero Amadito Valdes, and Latin jazzers like bassist Andy Gonzales, drummer “El Negro” Horacio Hernandez, and conguero Giovanni Hidalgo. The rhythms and song structures are mostly true to traditional Cuban forms. The disc opens with a woeful lament by Neville’s solo tenor sax, which leads into a hot drum duet by Ameen and El Negro. The percussionists take us from Bourbon Street to Birdland, then finally down to Old Havana where the enchanted voice of Xiomara Lougart tempts us with pensive beauty. Track #2 has a discomforting juxtaposition, so typical of Hanrahan: the slow, gentle ballad sounds of Lougart and violinist Alfredo Triff float ethereally over a veritable volcano of percussion. Triff also plays wild, distant jungle howls on the unusual #15, which features Gonzales’ bowed bass.
More traditional Cuban sounds are scattered around the disc, with many unexpected twists. Track #7 is especially abstruse, a trio of tenor sax, vibrant bass, and El Negro clicking two large metal keys together like claves. The next track is a brief, memorable rendition of the classic Besame Mucho ; Lougart sounds like she’s lounging half-drunk on a worn couch, a full ashtray sitting on the floor. Vocalist Haila Monpie’s contributions are also noteworthy, her voice being more youthful and less dusky than Lougart’s. Other excellent lead vocals are provided by the soulful Pedro Martinez and Puntilla Orlando Rios, a nice variety overall. The disc closes strangely, with the disembodied telephone-voices of Velibor Pedevski and El Negro over a pointillistic ground of handclaps and percussion played on some type of metal “sculptures”. As always, Hanrahan leaves us puzzling over the unforeseen. This is an unconventional but most entertaining disc, especially recommended for those who like a middle ground between Latin jazz and Buena Vista-style traditionalism.
Hasard du calendrier des sorties 2007 : à une première salve largement composée de groupes sortant leur premier ou second album, succèdent de nouveaux disques d’artistes déjà confirmés, dont on pourrait dire qu’ ils montrent aux jeunes où il faudra en être dans quelques années pour ne pas tomber aux oubliettes.
Ainsi deux semaines après Nick Cave et son groupe Grinderman, ce sont les américains de Low qui publient leur (déjà) huitième album, donnant suite à The Great Destroyer sur lequel le groupe était sorti de ses ambiances parfois un peu catatoniques pour livrer un vrai disque rock et enlevé. Sur Drums and Guns, si Dave Fridmann officie à nouveau derrière la console, c’est à un retour à des climats beaucoup plus sombres et intimistes qu’ils nous convient, sans pour autant se répéter.
Car Drums and Guns est un album aussi sobre en surface qu’il est riche dans le fond, aussi minimaliste de prime abord qu’incroyablement dense dans sa production. Pas de guitares ou si peu, des rythmes froids et machiniques, réchauffés par les parties vocales. Pretty People, le morceau introductif, donne l’impression de littéralement sortir de terre, sonne comme une complainte teintée de douleur. Les thèmes abordés sont la mort et le meurtre, et ça s’entend : on ne rigole pas beaucoup à l’écoute de cet album qui réclame toute l’attention de son auditeur, mais on n’a pas non plus à faire à un manifeste morbide, car tout est construit pour inciter à l’introspection ou à la réflexion. Chaque chanson évoque une transcendance des émotions que peuvent engendrer ces thèmes.
On pourrait citer tous les morceaux, contentons-nous de Dragonfly pour sa mélodie qui jaillit de presque rien, Take Your Time et son refrain poignant, Murderer pour le contraste entre la gravité de son thème et la poésie qui se dégage des orchestrations. Même si le rapprochement pourra paraître audacieux, on pensera à ce qu’avait réalisé Bashung en 2002 avec L’Imprudence. Un disque lumineusement sombre, faussement aride, poétique. C’est ce que réussit Low avec Drums and Guns et c’est un tour de force.
Ray Callao se reune por primera vez, en Barcelona, en Septiembre del 2007; sexteto de fusión Afro Latina, de aires frescos . Sus integrantes proceden de distintas partes del mundo, Barcelona, México, Canarias, Perú…
Van desde el formato acústico con contrabajo, bongó y tres, hasta la formación de pequeña orquestra con 9 integrantes; destacan por su versatilidad y por la facilidad con la cual pasan por distintos rítmos afrocubanos, sin perder ese sonido tan propio que les caracteriza. Tampoco tienen complejos cuando salen a tocar a la calle ni cuando suben a los escenarios más conocidos de la ciudad condal, siempre buscan la complicidad del público. La voz callejera, el sonido jazz selvático de la guitarra, los metales explosivos y una sólida base rítmica, proponen una nueva opción dentro del género y la actual escena musical barcelonesa.