Abstract Hip Hop , Afrobeat , Alternative Fusion , Alternative Rock , Ambient , Blues , Concert , Dancehall , DemonAngel , Disco , DJ , Downtempo , Drum and Bass , Dub , Electro , Electro Dub , Folk , Funk , Gospel , Groove , Hard Rock , Hip Hop , IDM , Jazz , live , Mix , New Jazz , Other , Piano , Podcast , Pop , Pop Folk , Pop Rock , Punk , Ragga , Rap , Rap Fusion , Reggae (45) Rock , Ska , Soul , Spoken Word , Trip Hop , World Music
Hip Hop / Paris / le 05 Mai 2010. « Mais où est Billie? On ne sait pas. A la Cigale sûrement pas. »
Mais où est Oxmo? Ah ça je sais, lui pour le coup il y était !
Devant une salle complète et comblée, rassemblant les fans d’avant et d’après « Lipopette Bar », le black Jacques Brel nous propose un show de presque deux heures, accompagné de ses musiciens dont il ne semble plus décrocher. L’atmosphère est à l’image du flow et des paroles : prenante, planante, intelligente, jamais vulgaire, sombre mais bon enfant ; l’homme est passionné, aime se donner, apprécie et encourage le retour du public, partage réellement sa musique avec lui.
Du hip-hop certes, mais bien plus que ça en fait : du jazz, du funk, du rock, de la chanson, de la poésie… Sur scène, ce n’est pas que Oxmo Puccino, mais bien un groupe dans son intégralité qui se produit. Du clavier à la batterie, tous jouent leurs rôles respectifs à la perfection, s’amusent en contre-temps, se mettent en avant le moment venu et savent se retirer avec classe pour laisser leur place aux autres.
De fait le public – qu’il s’agisse des aficionados de la première heure ou de ceux post Lipopette – répond présent, touché par cette simplicité et ce naturel qui permet de passer d’une « chanson française » comme « Quitte moi » à un rap du XIX de la bonne époque comme « Black Mafioso ».
Secouer la tête sur les beats, ingurgiter les paroles, réfléchir, bouger, oublier : la nostalgie prend et colle un sourire béat aux lèvres pour s’envoler de nouveau sur des slaps de basse funkies. Tout est là, riche, hétéroclite, complet et unique, à l’image de l’homme et de son groupe.
Dix-huit années de basse et de vocales derrière ses deux potes Errol Grandison et Albert Griffiths. Troisième Gladiators devant l’éternel, c’est durant les années 80 que Clinton Fearon reprend sa liberté. Il part aux Etats-Unis pour s’attaquer au devant de la scène, crée son Boogie Brown Band, mais reste toujours de la même école de son. Ce dvd restitue l’ambiance du concert au Reggae Bash de Lyon en 2004. Même s’il ne contient que la prestation scénique accompagnée d’une interview, le tournage est plutôt de bonne facture et le moment d’une belle intensité. Un document qui pallie le manque qui pouvait exister dans la discographie de Clinton Ferron.
Maceo Parker (born February 14, 1943) is an American funk and soul jazz saxophonist, best known for his work with James Brown in the 1960s, as well as Parliament-Funkadelic in the 1970s. Parker was a prominent soloist on many of Brown’s hit recordings, and a key part of his band, playing alto, tenor and baritone saxophones. He is now just as well known for his own shows, as he has toured continuously under his own name since the early 1990s and has built up a strong fan base.
Tracklist :
Intro
Gimme Some Love
Uptown Up
Baby Knows
There Was a Time
My Love
Hey Jude
Line Up :
Maceo Parker- Alto Sax and Vocals
Greg Boyer- Trombon
Ron Tooley- Trumpet
Will Boulwares- Hammond B3, Keyboards
Bruno Speight- Guitar
Rodney Curtis- Bass
Jamal Thomas- Drums
Martha High, Correy Parker, Charles Sherrell- Vocals
Third World est un groupe de reggae formé en 1973 par Stephen ‘Cat’ Coore à la guitare, et Michael ‘Ibo’ Cooper clavier, qui venaient de quitter Inner Circle.
Le groupe attire vite l’œil du public par des prestations live de très bon niveau (première partie de Bob Marley lors de sa tournée internationale de 1975). En effet, à l’instar de Bob Marley and the Wailers, et contrairement à beaucoup de groupes jamaïcains des années 70, Third World est un groupe complet de musiciens. (Les autres groupes étaient généralement des chanteurs qui se faisaient accompagner par des musiciens de studios « partagés » entre différents groupes et faisaient très rarement des concerts).
Third World est aussi connu pour avoir proposé un reggae « savant », virtuose, très travaillé, et très composé, et donc assez éloigné du son « roots » de leur époque. On peut le voir avec des morceaux studios durant plus de 5 minutes, ou des lives avec beaucoup de passages improvisés et des solos. D’ailleurs ses deux membres fondateurs Steven « Cat » Coore guitariste (à la base violoncelliste), et « Ibo » le clavieriste ont eu tous les deux une formation de musiciens classiques, ce qui pourrait expliquer le style de ce groupe.
Leur premier album éponyme sort en 1976 et rencontre un beau succès.
Mais c’est incontestablement avec leur second album « 96 degrees in the shade » (1977) qu’ils rentrent dans l’histoire du reggae avec des titres comme « Jah Glory » ou « 1865 (96 degrees in the shade) ». Suivrons alors les albums « Journey to Addis » (1978), « Arise in Harmony » (1979).
En 1998, ils ont collaboré avec Shaggy et Bounty Killer pour la chanson Reggae Party.
En 2002 la chanson Reggae Ambassador est intégrée à la bande originale du film Ali G avec Sacha Baron Cohen.
En 2003 on retrouve Third World et Pierpoljak sur le Titre Attention du chanteur Jamaicain U-Roy
Popa Chubby, de son vrai nom Ted Horowitz, est un chanteur et guitariste de blues et de rock new-yorkais.
Originaire du Bronx à New York, son style agressif est influencé par Willie Dixon ainsi que Jimi Hendrix, Randy Rhoads, Albert King ou encore Danny Gatton créant ainsi une synthèse Blues, Rock, Funk, Pop très personnelle mais transpirant le blues new-yorkais. Comme Calvin Russell, il a beaucoup plus de succès en France qu’aux États-Unis, où il n’est connu que des spécialistes, bien que la situation ait tendance à s’inverser. Son nom de scène est tiré d’une expression d’argot, « pop a chubby », qui veut dire « avoir une érection », mais peut également faire référence à son embonpoint (popa/papa joufflu). Chacun de ses albums est un concept en lui-même : un album de ballades avec des chansons comme Hallelujah, de rock-punk pur (« If the Diesel Don’t Get You Then the Jet Fuel Will »), ou encore de blues comme « Back Door Man » où l’on sent bien la patte du « maître . Perfectionniste, c’est le roi des coups de gueule .
En 2006 il entame une tournée en la commémoration de Jimi Hendrix, celui qui lui a fait découvrir le rock à la radio avec son Purple Haze. Il possède une collection de guitares dont une Fender que le fabricant n’avait pas répertoriée.
Il joue également de la batterie, qu’il lui arrive de pratiquer sur scène.
Walter Trout (born March 6, 1951, Ocean City, New Jersey, United States is an American blues guitarist, singer and songwriter.
Trout’s career began on the Jersey coast scene of the late 1960s and early 1970s. He then decided to relocate to Los Angeles where he became a sideman for Percy Mayfield and Deacon Jones. He also worked in the bands of John Lee Hooker and Joe Tex.
In 1981 be became the guitarist for Canned Heat.[1] This led to an invitation to play in John Mayall’s Bluesbreakers where he shared the stage with fellow guitarist Coco Montoya. He left the Bluesbreakers in 1989 and formed the ‘Walter Trout Band’ which developed a successful following in Europe.
In 1994 the official Walter Trout Fan Club for the Netherlands and Belgium was founded, followed in 1996 by the official International Fan Club who has members in 14 countries in Europe, America, Asia and Australia. In 2006 the official International Fan club celebrated its tenth anniversary by giving fan club members an exclusive live CD recorded in Las Vegas, Nevada, which was the last performance of the late bassist, Jimmy Trapp, who died in 2005.
In 1998 Trout released his self-titled US debut album and renamed his band ‘Walter Trout and the Free Radicals’ (later renamed ‘Walter Trout and the Radicals’ and currently simply ‘Walter Trout’). Since that time Trout has been recording and touring in North America, Europe and India.
In 2002, he was featured on the Bo Diddley tribute album, Hey Bo Diddley – A Tribute!, performing the song « Road Runner » and many more guest appearances on other recordings.
The 2006 release Full Circle, meant that Trout realized his dream of creating an album with some of his most admired musicians, including John Mayall, Coco Montoya, and Joe Bonamassa, among others.
This concert was recorded May 24, 1990 at Nightstage in Cambridge, Massachusetts for an evening of extraordinary acoustic music. Special guest guitarist featured is Chris Carrington.
Songs include: P.S.P., Mediterranean Sundance, Tango Suite For Two Guitars and more.
Al Dimeola, Larry Coryell and Bireli Lagrene perform many selections including « P.S.P., » « Mediterranean Sundance, » and « Tango Suite for Two Guitars. »
I love these types of DVDs. A few years back I saw a concert that was similar to this: « Friday Night In San Francisco » It was amazing live. This DVD brought back memories of the show and CD I bought. Of course this was a different line up, I saw Paco De Lucia, Al Di Meola, and John McLaughin oh and a little known axe player at the time Steve Morse I guess it was more than a few years ago. Anyway I digress back to this lineup, great sound, all acoustic mic,and furiously fast. This frentic trio had me hypnotized from the opening salvo of guitar splendor. This lineup included Al Di Meola, Larry Coryell, and Bireli Lagrene. If you love Guitar fireworks at blazing speed, but always in key and in time you will love this accoustic masterpiece. They cover Coryell, Return to Forever, Chick Corea, and Astor Piazzolla tunes and a few Di Meola classics. Its short, sweet, blazing, hypnotic and totally worth the price. If you have any interest in classical guitar, or acoustic speedstering this the DVD for you. I wish more stuff like this were available.
Marcus Miller est un compositeur et bassiste de jazz fusion. Il est né à Brooklyn (États-Unis, New York) le 14 juin 1959.
Multi-instrumentiste, il joue d’abord de la clarinette basse avant de se consacrer particulièrement à la basse. Sa carrière décolle lors de ses fructueuses collaborations avec Miles Davis (en naîtra dans les années 1980 l’enregistrement Tutu). Il a également travaillé sur l’album Zoolook de Jean Michel Jarre en 1984.
Techniquement, il se distingue par sa grande maîtrise des techniques complexes comme le slap.
Frrom Official Myspace : Bien plus qu’un concept fédérateur, l’utopie est l’essence même du trio Hadouk, sa nature profonde, sa force vive depuis plus de dix ans, son âme insaisissable aussi. Car Hadouk est un monde par lui-même, fait de racines aériennes et de terres rêvées, un continent imprévu qui pointe entre l’Afrique et l’Orient, un rivage improbable qui s’avance entre jazz et world, une véritable rose des vents qui se dessine sur le portulan des musiques du monde. Bref, Hadouk c’est une cosmologie en soi, avec ses constellations et ses horizons libres, ses lignes de grande transhumance et ses astres de première magnitude. Charmeur de vents, Didier Malherbe attrape de son phrasé inimitable, les mélodies que zéphyrs et alizés lui apportent de toutes les latitudes. Cofondateur du mythique Gong avec Daevid Allen, il défend ensuite bec et anche la trille alerte et le slap éolien auprès de Jacques Higelin et de Brigitte Fontaine, de Robert Wyatt et de Pierre Bensusan. Depuis longtemps, à côté du saxophone et de la flûte, Didier apprivoise la bourrasque et cisèle la volute dans ces exquis réceptacles à turbulences que sont le bansouri, les ocarinas, et bien sûr le doudouk, hautbois arménien en bois d’abricotier au son doux et pensif. Grand connaisseur du roseau et infatigable babilleur, il a également publié un recueil de sonnets intitulé L’Anche des Métamorphoses. Méhariste éclairé, Loy Ehrlich a été de toutes les équipées trans-sahariennes, aux côtés de Youssou N’Dour, Touré Kunda, Geoffrey Oryema, mais aussi de Peter Gabriel. Poly-instrumentiste, fin joueur de kora et de sanza, spécialiste du hajouj, la basse des gnawas, Loy a également mis dans ses claviers toutes les épices des marchés du monde. On le connaît aussi comme arrangeur et producteur, ainsi que programmateur du festival d’Essaouira. Bourlingueur invétéré, Steve Shehan promène quant à lui son grand sac à rythmes sur toutes les coutures de la planète, pour en capter les forces sismiques. On l’a entendu avec Paul Simon, John McLaughlin, Paul McCartney, Christian Vander, Brian Eno et tant d’autres… Bois et argiles, cuirs et métaux n’ont plus de secret pour lui. Car Steve joue avec le temps comme avec la matière, et c’est le diaphragme du monde qui bat entre ses peaux. Il a par ailleurs à son actif plus d’une douzaine d’albums. Après avoir célébré la chimère totémique (Shamanimal) et s’être hissé au sommet du perpétuel présent (Now), Hadouk emprunte désormais l’orbe altière du gyroscope cosmique. Après l’amble du désert et le groove végétal, voici le swing météorique ! Placé sous les auspices de la toupie céleste, ce cinquième album fait ainsi la part belle aux élans tourbillonnants, valse, pulse ternaire, danse spiralée et autres envolées giratoires. De nouveaux instruments ont rejoint la panoplie de nos chasseurs de sons : khen, orgue à bouche du Laos, gumbass assemblant la caisse du guimbri et le manche de la basse électrique, hang au croisement chatoyant du steeldrum et du gamelan ; autant de territoires sonores qui s’inventent dans la distance prise depuis le terroir d’origine… Hommage de trois navigateurs au long cours, à celui qui fut le pionnier de la world music à travers son concept de Quatrième Monde, Hadouk invite le trompettiste américain Jon Hassell sur trois morceaux : dans un ultime envoi, l’utopie rejoint alors l’orbite des grands empires imaginaires. Entre toupies et utopies, voici donc une nouvelle série de belles tourneries et de rêveries nomades, qui enlacent et emportent sur l’autre face du monde.
par Bruno Heuzé
Tracklist : 01. Nacarat (09:00) 02. Alma Celesta (06:34) 03. Shamanimal (07:16) 04. Vol De Nuit (06:49) 05. Le Théâtre Des Singes (06:24) 06. Salsa Movar (09:13) 07. Polar Blues (04:46) 08. Barca Solaris (11:19) 09. Dragon De Lune (06:17) 10. Le Gibbon / Gopi (10:44) 11. Bille En Tête (06:52) 12. Échappade / Moussa (08:14) 13. O’Shehan Drum (02:20) 14. Loukoumotive (08:15)
U Roy (né Ewart Beckford le 21 septembre 1942 à Jones Town, Jamaïque) est un deejay reggae jamaïcain, également connu sous les noms de The Originator, Hugh Roy ou « Daddy U Roy » (en raison de son statut de « parrain » du style deejay).
Sa carrière musicale commence en 1961, quand il devient DJ de différents sound systems. Il travaille ainsi avec King Tubby à l’époque où il expérimente le dub. Avec U Roy comme DJ, le sound system de King Tubby devient extraordinairement populaire et U Roy connaît alors la célébrité. Il enregistre pour la première fois Dynamic Fashion Way en 1969. Il travaille par la suite avec Lee Perry, Peter Tosh, Bunny Lee et Lloyd Daley.
En 1970, le chanteur jamaïcain John Holt remarque la technique de U Roy. En travaillant avec Duke Reid, la renommée de U-Roy s’accroît, notamment avec une série de singles historiques, incluant Wake the Town et Wear You to the Ball.
S’il n’est pas le premier deejay jamaïcain à avoir enregistré (Sir Lord Comic et King Stitt l’ont précédé), U Roy est le premier à avoir réalisé des tubes et est à l’origine de l’explosion du style deejay dans les années 1970. Ce style devient ensuite dominant dans le reggae des années 1980 jusqu’à celui d’aujourd’hui (environ 70% des artistes vocaux jamaïcains actuels sont des deejays contre seulement 30% de chanteurs) ; ce style deejay reggae est considéré comme l’un des pères du rap (pour la partie vocale).
Le succès de U Roy perdure tout au long des années 70 et son sound system King Sturgav continue de révéler de nouveaux DJ jusqu’au début des années 80.
Tracklist : 1 : Reggae Party 2 : Ghetto Youth Stand Up 3 : Commercial Dreadlocks 4 : Boy On My Mind 5 : True Born African 6 : She’s A Rasta Woman 7 : Jah Jah Love 8 : Keep On Running 9 : Go There Natty 10 : Soul Rebel 11 : Taken From Africa 12 : Amen 13 : Wear You To The Ball 14 : Pass The Kutchie
Initialement baptisés « The Hep Ones », ils changent de nom pour « The Heptones », plus facilement prononçable. C’est le titre « Fattie Fattie » (sortit en 1966) qui les fera véritablement connaître du grand public. C’est en arrivant chez Studio One que le groupe est propulsé sur le devant de la scène rocksteady, avec des titres phares comme « Only Sixteen », « Baby », « Get In The Groove », « Ting A Ling », « Got To Fight On (To The Top) » « Party Time » ou encore « Sweeting Talking ».
En 1971, le trio s’embrouille avec Coxsone Dodd et quitte Studio One.
Le groupe continue après 1977, malgré le départ de Leroy Sibbles.