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Skarnales get fired up with Dale Shine! | Houston Music | 29-95.com MusicSkarnales get fired up with Dale Shine!
Andrew Dansby at 11:23 am on September 9, 2010
Putting Felipe Galvan on a stage achieves an effect similar to dropping sodium into water. He’s an explosive performer, and Los Skarnales might be the best live band I’ve ever seen. Trying to harness that dizzying euphoria on CD is no easy task, but the group remains a spirited recording ensemble, transferring the energy — minus the sweat — onto an album. Dále Shine! — Los Skarnales’ first album in six years — is a representation of all that makes this band great.
Not surprisingly for an eight-piece Latin/ska/rock band Skarnales cover a lot of ground on Dále Shine! And the band wastes no time getting going. All Dressed Up is a jumbo-jet engine of an opener. Galvan spits lyrics a mile a minute while Jose Rodriguez’s scorching surf-guitar lick gives it drive.
There’s a celebratory feeling to Skarnales’ one-world inclusiveness. It’s music you feel, for sure, but it still lends itself to record-crate conversation. It’s no coincidence that an interior photo on the album includes album covers by the Specials, Delroy Wilson, the Clash, James Brown, Ritchie Valens, Johnny Cash, Los Xochimilcas and Joe Turner.
These seemingly disparate elements are always in the mix, but with each song Skarnales alter the proportions. ¿Donde Estás? opens with a loping rockabilly strut with Clashy all-for-one vocals before it turns into a skaplosion; slow, fast, slow, fast — it’ll be a corker in concert. On the flip side, Mala Vida is about the slowest thing on the record, a tip to Wilson with rocksteady ready backing vocals and a leisurely pace.
I won’t profess to understand the entirety of the lyrics, but if lies are really bothering the guys, you wouldn’t know it from the sound of Mentiras, which very much is sockhop ready. And there’s not much that needs to be said about a song called Ska Train, other than it’s delivered as it’s billed, with merry-go-round blasts of sax, trumpet and trombone.
True to some of those aforementioned influences, the proceedings are frequently dappled with a playful comic sensibility, like way the group vocals on Una Otra Vez swerve into drunken singalong.
Hopefully six more years won’t pass before the next one. It was a long wait. But it was worth it.
OI SKARIBAS EINAI MIA SKA PUNK REGGAE 10MELIS BANDA POU EXOUN TIN EDRA TOUS STI GH, TOU PIROS, KAI KIRIWS STIN THESSALONIKI EXOUN KIKLOFORISEI ENAN ANTITOURISTIKO DISKO KAI I SINEXEIA EPAITE. EXOUN VRETHEI STO STAGE ME POLLA SIGROTIMATA APO ELLADA KAI EKSOTERIKO. IDRAVLIKO PUNK KATHAROAIMO SKA REGGAE ZION KAI KUNG FU RAGGA ME POLITIKO KAI SARKASTIKO STIXO SINTHETOUN TIN KATHIMERINOTITA KAI KAT EPEKTASIN TI MOUSIKI TOYS. AFTA GIA ARXH…YO!
SKARIBAS IS A SKA PUNK REGGAE 10MEMBERED BAND WHO HAVE THEIR BASE ON EARTH ,OF FIRE, AND CERTAINLY THESSALONIKI (greece) THEY HAD MAKE A »CONTRA EL TOYRISMO » CD AND THEY CONTINUE THEIR WORK. THEY HAVE BEEN ON STAGE WITH MANY GROUPS FROM GREECE AND EXTERNAL. HYDRAULIC PUNK THOROUGHBRED SKA REGGAE ZION AND KUNG FU RAGGA, WITH POLITICAL, FLEER LYRICS COMPOSE THE ROUTINE AND THEIR MUSIK. THATS FOR THE START…
Formation explosive de 8 musiciens issus de la banlieue parisienne. Dans leurs compositions, ils mêlent punk, ragga, soukouss, rock, fusion, hip hop, etc … ça part dans tous les sens : cuivres et scratchs déjantés, textes impliqués et section rythmique enragée.
An explosive band of 8 musicians from the Parisian suburbs. In their compositions, they mix punk, ragga, soukouss, rock’n’roll, fusion, hip hop, etc… that goes in all directions: mad brass section and Dj scratches, engaged texts and heavy rhythmic section !
Eksplozivan bend koji sacinjava 8 muzicara iz pariškog predgrada. Muzika je mješavina punka, reaggea, soukouss, rock, fusion, hip-hop…Vatrena poslastica za slušna osjetila u kojoj se ispreplicu brass instrumenti, scratch, angažirani tekstovi i neobicne ritmicne muzicke sekcije
Formación explosiva de 8 músicos de las afueras de París. En sus temas mezclan punk, reggae, soukouss, rock, fusión, hip hop, etc … una perfecta miscelànea musical: seccion de vientos y scratchs completamente alucinados, letras comprometidas y ritmo rabioso.
Diese französische Power-Gruppe verschmilzt Punk, Ragga, Soukous*, Rock, Fusion, Hip Hop und vieles mehr zu einer Mischung, über die man nur sagen kann: Hochexplosiv! Mit ihren hochenergetischen Songs bringen sie die Säle zum Kochen, denn bei diesen treibenden Rhythmen, bombigen Scratchs, flippigen Bläsereinwürfen und mitreißenden Texten bleibt kein Auge mehr trocken und kein Fuß mehr still.
Explosif, fougueux, bouillonnant tels sont les résonances de Patates Rats. Formation de 5 musiciens, amis de lycée, née fin 2002 entre les Hautes Alpes et Grenoble.
Après avoir gratté leurs premiers morceaux sur l’asphalte, c’est en 2003 que le groupe délaisse l’acoustique et s’arme d’un trombone pour rejoindre les scènes amplifiées. Une formation rock dopée par la chaleur du reggae. En 2005 le groupe autoproduit son premier album « Fuite des Sens » et l’écoule en quelques mois. Depuis sa naissance, Patates Rats a donné plus de 240 concerts en France, en Suisse et en Belgique.
En 2008, ils remettent le couvert avec « Où est la Sortie ? ». Un second opus au mix explosif porté par un chant aux aspirations hiphop, des textes acides, bien trempés, une musique mélodique, cuivré, tranchante.
Si la singularité de ce groupe ayant à son actif déjà treize ans d’existence n’est plus à prouver, la sortie de leur nouvel album, « Primitifs », bouscule quelque peu les codes auxquels il nous avait habitué. En effet, Percubaba était jusqu’alors connu pour sa capacité à mélanger les flows rock et hip-hop sur des tempos reggae dub amenant généralement à la transe.
Aujourd’hui, le style Percubaba, même s’il conserve son univers roots au travers de titres comme « Tchatche ! », « En chemin » ou encore le grandissime « Combien ? », celui-ci s’enrichie de nouvelles sonorités, comme sur le titre « Panique au dancing », vision funky old school de la string déchéance, ou encore sur le titre « Poubelle la vie », au beat electro dubstep.
Notre préférence ira peut-être au seul titre en anglais de l’album, « Mother fucker », qui sur un ton cold-wave electro génère un sentiment d’apesanteur assez intense. Écouter un album de Percubaba est toujours un réel plaisir de par la diversité sonore explorée et l’énergie transposée. Un bon plan, incontestablement …
For 1998’s In Mass Mind, their second studio album and fourth long-player overall, the Make-Up recruited Adam & Eve — a.k.a. Royal Trux’s Neil Hagerty and Jennifer Herrema — for production duties. As evidenced by the album’s warm, detailed sound, the collaboration is a perfect fit, bringing just enough polish and focus to the Make-Up’s music to make it even more powerful. « Black Wire Pt. 1, » « Drop the Needle, » and « The Joy of Sound » show off the group’s dynamic, theatrical side, while « Earth Worm, » « Do You Like Gospel Music, » « Time Machine, » and « Caught Up in the Rapture » are atmospheric and soulful, further explorations into the band’s widening sonic territory.
Ultime volet d’une épique trilogie, Bedford Park met fin à une aventure humaine et artistique unique en son genre. The Infesticons reprennent les armes pour la dernière fois et nous les avons suivi dans les décombres d’une ville en proie à la torpeur. Mais laissons donc aux Mcs ce qui leur appartient, à vous la rédaction …
A l’origine du mythe, il y a Mike Ladd, mc prolifique et producteur de son état, fer de lance d’un mouvement que l’on appelle le « Spoken Word » qui consiste en une sorte de poésie orale proche du slam. C’est après quelques albums bien accueillis qu’il entreprend de créer sur le label Big Dada, une trilogie musicale mettant en scène une guerre sans merci que livrent les gentils Infesticons à l’encontre des vils Majesticons. Ces derniers projettent de conquérir un New York alternatif situé dans une dimension parallèle. c’est donc à nos héros qu’il reviendra la dure tache de botter l’arrière train de ces envahisseurs mal intentionnés dans un joyeux bordel sonore mélangeant sans vergogne punk, funk ou encore Hip-Hop.
Bedford Park situe l’action tout juste après la bataille, et Blokin’ Door Anthem ouvre ce dernier acte sur une ville fumante d’où résonnent un vieux morceau punk, une voix s’élève, éraillée par les épreuves, encore sous le choc des combats.
On reprend vite du terrain, on arpente les débris où l’on retrouve quelque personnage fantasque comme ce Dirty Ol’ Man Athem qui semble plutôt remonté … une majorette défile les genoux écorchés lançant très haut son bâton sale sur ce Plan Anthem à l’instru festive et forcément décalée …
Puis subitement un parc se présente à nous, intact encore préservé du tulmulte par un immeuble qui jadis lui faisait de l’ombre … Forever Anthem sera le seul titre réellemnt optimiste de ce témoignage héroique … court moment de répis car il faut déjà repartir !
Les scènes et les protagonistes se suivent, le Hip-Hop se fait de plus en plus expérimental et les frontières entre les mouvement musicaux vollent en éclat. Le combat final fut difficile mais la victoire est bonne.
Les gentils ont encore sauvé le monde, non sans faire de dégats mais l’histoire se souvriendra surtout de cette poigné d’hommes libres qui ont bravés les styles pour défendre leur idéaux … Une excellente fusion tirant partie de chaque univers musical, du pain bénit pour les curieux !
Première sortie, et fondateurs historiques du label, les champions du « trashamuffin » peuvent être considérés comme le dernier groupe d’importance du « mouvement alternatif » originel. Revendicatifs en diable, ces redoutables écumeurs de planches développèrent, six années durant (90-96), une fusion originale propre à crever le mur du son, expérimentant toujours plus loin le bétonnage de la pulsion reggae, des rythmiques dévastatrices, des guitares irradiées et des éructations toastées
Composé par les frères Muguruza, Iñigo (basse) et Fermin (chant et guitare), et Treku Armendariz (batterie), ce groupe mélangeant le rock, le reggae, le ska et l’énergie punk a fait connaître le rock basque.
Le groupe naît en 1983 à Irun, au Pays basque. Au fur et à mesure de son ascension, son engagement pour la reconnaissance du Pays basque se renforce, et les chansons en basque se font plus nombreuses. Leur principale influence sont les Clash, dont ils reprennent « Jimmi Jazz » sur leur premier album. Leur album live « Azken Guda Dantza » a été classé parmi les meilleurs concerts de la décennie par la revue américaine Maximumrocknroll.
Suite à ce dernier concert le groupe se sépare et les frères Muguruza vont fonder Negu Gorriak (avec Kaki Arkarazo, Mikel – bassiste d’ Anestesia et Mikel – batteur de BAP! ) et créer leur label, Esan Ozenki.
Leur style s’oriente alors vers une fusion de plusieurs styles dont le rap avec une forte influence de Public Enemy et un rock plus puissant.